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Dernière mise à jour : le 1er juillet 2013
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Si vous êtes intéressé, Théo Bruand propose les plans qu'il a réalisés sur : Air de France en 1958 (échelle 1/2500, dimensions 72x62 cm, prix 15 €), Bouzaréah en 1958 (échelle 1/2800, dimensions 49x54 cm, prix 15 €), El-Biar en 1956 (échelle 1/8300, dimensions 70x80 cm, prix 13€) et sur beaucoup d'autres villages d'Algérie (pas encore Dély Ibrahim et Aumale).
Pour commander ces plans, écrire à
Théo BRUAND - 11 avenue Clémenceau - 39500 - TAVAUX ou par e-mail (Port et envoi en tube postal Colissimo 7 €)

QUESTIONS et (peut-être) RÉPONSES

Si vous avez des informations ou des réponses à ces questions, merci de nous les adresser par e-mail

- Marie-José Mazel-Limiñana : J'ai repensé à un événement qui s'était passé pendant la guerre (quand les Américains étaient installés dans la forêt de Baïnem). Un avion militaire canadien s'était écrasé une nuit juste entre la propriété de Madame Denat et la nôtre, à la hauteur à peu près de la maison où habitait Monsieur Bou. Il avait arraché les cyprès qui formaient une clôture. Je crois qu'il y avait 5 ou 7 occupants, aucun survivant. Qui en aurait entendu parler ? Il y avait des débris partout, humains et ceux de l'avion.

Michelle Lévy-Salama : Je me souviens d'une famille iranienne logée sur la route de Beni Messous dans la villa "La Louisiane". Hélas je ne revois que le portail blanc, pas très haut, et je n'ai en tête que les prénoms de deux fillettes Shiraz et Taboure. J'avais joué chez elle et le costume de la maman sari boubou de soie m'avait fort impressionnée, les tapis et les meubles aussi. Cette famille n'avait logé qu'un certain temps à Air de France. Etait elle de la famille du Shah ???? Je n'ai pas souvenir du tout d'une telle histoire, en quelle année était-ce ????

Noëlle Potentier se souvient nettement de l'accueil de la suite du Shah d’Iran, logée chez Manuel Chichepotiche qui, chaque jour, le bref temps de l’exil, déployait ses tapis et ses fastes devant chez nous dans la cour (donc dans le virage rue du Béarn). Imaginez l’impression produite sur ses 2 ou 3 ans ! Qui s’en souvient ? Qui aurait logé d’autres membres de cette suite ? Pourquoi là, à Air de France ?

Yves Lagrula a pour projet d'écrire une histoire de l'Observatoire de Bouzaréah. Tous documents ou informations (autres que ce qui existe déjà sur le net) lui seraient une aide précieuse. Il est également très interessé par des photographies actuelles. Il a reconstitué de mémoire un plan de l'observatoire qu'il peux scanner et envoyer à qui sera intéressé, en situant les endroits dont il aimerait avoir des photos.


Une vue d'Air de France à localiser : Appel aux souvenirs de tous les anciens d'Air de France et Bouzaréah
Mon copain Bernard Venis, du site http://alger-roi.fr, a eu la gentillesse de m'offrir une carte postale postée en 1945, provenant de sa collection, dont la légende est "Bouzaréah - Quartier Air de France". J'avoue que je suis incapable de localiser cette vue de paysage sous la neige, avec au premier plan, un champ de vigne descendant vers le fond d'un ravin et, sur le versant opposé, quelques villas. Plus au fond on distingue une ligne de maisons. Merci à celles et ceux qui voudraient bien aider à localiser cet endroit en faisant appel à leur mémoire
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cliquez sur l'image pour agrandir la vue

Francis Rambert recherche des photographies ou des cartes postales ou des illustrations dans des revues (même sous formes de scans) , sur lesquelles figurent des trolleybus ou des autobus des CFRA, de la RDTA ou de la RSTA des lignes 5 (Alger - Châteauneuf), 6 (Alger - Bouzaréah) ou 7 (Alger - Ben-Aknoun), 16 (Bouzaréah -Alger par la route neuve et le Frais Vallon) avant 1962.

Larbi Haned souhaiterait obtenir des renseignements sur le décés de Jules Pascal à l'hôpital de Menerville. Ce fondateur du Lotissement Pascal l'intêresse particulièrement parcequ'il se propose de reconstituer l'historique immobilier de la région qui nous intêresse et que nous aimons tant. Toute information serait la bienvenue.

• Qui se souviendrait d'une salle de sport ou de musculation fréquentée par les jeunes d'Air de France vers 1950 ? Cette salle devait se trouver près de l'endroit où sera édifié le CEG Baranès. Comment s'appelait la personne qui s'occupait de cette salle ?
La réponse de Jean-Jacques Ledjam : Concernant la salle de sports qui se trouvait à Air de France, je me rappelle qu'entre 1950 et 54, je fréquentais avec mon frère, une salle de sport qui était tenue par les époux VANI (je l'écris comme cela se prononce....). Il s'agissait d'une grande villa, qui comportait à l'extérieur sur le devant, une piscine toute en longueur pour apprendre à nager, et un grand bac à sable, avec un portique et un plongeoir pour apprendre le plongeon acrobatique. Nous étions retenus par un système de cordes et poulies que Monsieur VANI faisait fonctionner. A l'intérieur de la maison, en rez-de-chaussée, il y avait une grande salle de gym, avec tatami et appareils de musculation (de l'époque). Derrière la maison, se trouvait un terrain avec piste de course et divers appareillages de gym (échelles etc...). Quant à l'emplacement exact, c'est plus difficile, mais nous y allions à pied avec mon frère...

• Qui connaîtrait l'origine de l'appellation du lieu-dit "Camp Tabet" situé entre le lotissement Pascal et le lotissement Chevalley, le long du chemin de traverse qui reliait la route de Bouzaréah à celle du Frais Vallon et permettait ensuite de rejoindre Châteauneuf ?
La réponse de Chadly Hamza : En 1948, une vague d'émigration de juifs du Maroc vers la Palestine/Israël a été organisée et un camp de transit a été mis en place à cet endroit, sur ce qui était la propriété de Monsieur Tabet, qui aurait été de confession hébraïque. L'endroit serait resté sous contrôle des autorités (militaires, du Ministère de l'Intérieur ?) jusqu'en 1962.

• Quelle est l'origine de la couleur des maillots (jaune et noir) de l'USB (Union Sportive de Bouzaréah)

• Il semblerait qu'il y ait eu, en une ou plusieurs occasions, des fêtes de fin d'année à l'école mixte d'application d'Air de France. Qui en aurait quelques souvenirs ou des documents ?

• Qui pourrait nous dire où se situaient le Lotissement d'Apremont et le lieu-dit La Petite Provence ?
La réponse de Kamel Adjouri : Pour se rendre à Apremont, ce lot de villas appelé également "Petite Provence", qui se trouvait pas très loin de la D.S.T. où existait à l'époque l'hôtel"La Côte d'Or", on pouvait, soit à partir de la rue du Vercors et descendre à droite, soit à partir de la grande route qui montait du lotissement Chevalley, après le lotissement Pascal, prendre sur la gauche, la rue qui faisait face à la façade du bâtiment du collège Baranès (entrée des professeurs). En contrebas et à gauche de ce lotissement d'Apremont se trouvait la cité Fougeroux et, sur les hauteurs de ce lotissement, le Parc de Miremont et son immeuble bien connu, le "Printania".
Et une confirmation de Chadli Hamza : Le lotissement Apremont se trouve derrière le lotissement Pascal, du côté de l'endroit où il y avait les locaux de la D.S.T., plus loin de ce qui était l'hôtel "La Côte d'Or". Il allait jusque vers la cité de la Police, au haut de Fougeroux et à l'orée de Miremont. D'où je pense, la similitude des noms.
Et de Larbi Haned : J'habite encore aujourd'hui le Lotissement d'Apremont. Ce lotissement faisait partie de la circonscription de Dély Brahim sous la dénomination du Lotissement "la Petite Provence".
Note du site : il est probable que le lotissement d'Apremont (que certains connaissaient sous le nom de "la Côte d'Or") et la "Petite Provence" soient deux dénominations du même ensemble bien que nous ayons trouvé sur un plan, la "Petite Provence" située entre le lotissement d'Apremont, la route de Bouzaréah, la station de pompage (réservoir) et l'école d'application , où il y avait, en face du café "Le Normandie", un petit centre commercial avec le salon de coiffure de Mme Amato et la Pâtisserie Pellegrino et la mairie-annexe du 7ème arrondissement du Grand Alger.