Par de jolis jardins,
on peut descendre sur le versant N. dans la direction des Deux-Moulins
et de la pointe Pescade, ou encore sur la vallée des Consuls et
Notre-Dame d'Afrique par le Sémaphore ; ces sentires s'embranchent
à g. sur la route de l'Observatoire (poteaux indicateurs). (Guides-Joanne"Algérie
et Tunisie", 1909)
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Au dos de cette
carte postale, l'expéditeur (inconnu) nous fait partager
les sentiments qu'il a éprouvés lors de sa promenade
à l'Observatoire...
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En descendant du trolley-Bus nous avons
devant nous un panneau qui indique la direction à prendre pour nous
rendre à l'observatoire. Sur ce chemin nous rencontrons à
l'orée d'une propriété, un vieillard qui nous offrit
d'entrer dans son domaine pour y jouir du plus pittoresque et attrayant
panorama. Suivant l'endroit où il nous place le panorama est différent.
Sur la gauche, nous dominons la mer, la rade et Alger et sur la droite devant
nous se dressent : le Sahel, le mont Chenoua. Il nous reste à remercier
ce brave vieux de son amabilité. Nous continuons jusqu'à l'observatoire.
Le coup d'il est le même. Au retour, nous prendrons sur le bord
de la route trois bouts de racines des plantes de cette région. Que
deviendront-elles dans un pot à Paris ? C'est le souvenir d'une journée
de canicule à Bouzaréa en Août 1951. |
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