Lycée de Ben-Aknoun
Dernnière mise à jour le 7 juin 2006
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1958-1959 - Classe de 5ème M2
Passez la flèche sur les visages, si elle se transforme en petite main, vous découvrirez le nom de l'élève
Arlette Schneider Charles Goujon Mohamed Zibouche Arezki Bouchefra Fatima Taibi K. Amrouyache Meradi Christian Cortès Zidane Mr Amous Gualde Gisèle Aimée Avarguez Ghislaine Winter Jacqueline Brochery Nicole Giovannelli Marie-Jeanne Amic Françoise Demaistre Sportiche De Vissac Frédéric Marc Baudu Christian Pax Levy Smadja Michelle Bielher Daniel Vidal Guy Lemonier

Ont été identifiés (26/45) :

- Mr Amouss (prof de Français)


- Amic Marie-Jeanne
- Amrouyache K.
- Avarguez Aimée
- Baudu
- Bielher Michelle
- Bouchefra Arezki
- Brochery Jacqueline
- Cortès Christian
- Demaistre Françoise
- De Vissac
- Giovannelli Nicole
- Goujon Charles
- Gualde Gisèle
- Lemonier Guy
- Lévy
- Marc Frédéric
- Meradi
- Pax Christian
- Schneider Arlette
- Smaja
- Sportiche
- Taibi Fatima
- Vidal Daniel
- Winter Ghislaine
- Zibouche Mohamed
- Zidane

Commentaires et souvenirs de Mohamed Zibouche : Le professeur assis est Monsieur AMOUSS, prof de français. C'était un monsieur très élégant , toujours bien rasé et bien habillé. Il était d'une grande sévérité. Les élèves garçons qui ne faisaient leurs devoirs ou n'apprenaient pas leurs récitations, il leur administrait une paire de gifles. Mais auparavant il prenait le soin d'ôter ses lunettes qu'il déposait sur le bureau. C'était tout un rituel. Par contre les bons élèves étaient récompensés.
La classe de 5ème M2 pour moi est l'une des années scolaires qui m'a le plus marqué :nous étions plus de 40 élèves de divers horizons. Il y avait des citadins (Alger-Centre, Bab-el-Oued), des "banlieusards" (Air de France, Châteauneuf , El-Biar), des "campagnards" (Chéragas, Dély-Ibrahim ) et tout celà a créé une certaine ambiance où nous étions solidaires les uns les autres. A midi, comme on était en demi-pension, nous nous attablions ensembles au refectoire . Il n'y avait aucune animosité entre nous et tout se passait très bien.
Je me rappelle de Françoise Demaistre, la demoiselle au Vélosolex (c'était un luxe en 1959 .et son inséparable amie Marie-Jeanne Amic, la chahuteuse, mais toujours gaie et souriante même dans les moments les plus difficiles et Smadja l'enfant terrible de Bab-el-Oued (c'était un très bon copain)