Les Chroniques d'Air
de France
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En guise de conclusion
(provisoire ?) |
----C'est
sur ces anecdotes, témoins d'une vie simple et sans histoires,
que je vais arrêter le récit des quelques souvenirs personnels,
conservés ou retrouvés, de l'endroit où j'ai été
enfant et adolescent. Il n'est pas impossible que, dans le futur, d'autres
souvenirs pertinents de cette heureuse époque me reviennent,
petit à petit, par bribes et que je puisse les rassembler et
les organiser de façon cohérente pour qu'ils complètent,
un jour, ce récit. |
-----Ce
texte souffre donc cruellement de ce manque d'illustration (est-ce imaginable
que Monsieur MILANDRE, le photographe, n'ait jamais fixé, sur ses
plaques sensibles, l'endroit où il a vécu ?) et je lance un
appel à ceux et celles qui détiendraient des documents d'intérêt
général (pas de documents strictement personnels) et qui voudraient
bien m'en transmettre une copie. -----Enfin, il n'est peut-être pas trop tard pour (re)nouer des liens avec tous ceux qui se seront retrouvés aux détours de ce texte, à l'école, dans les rues, chez les commerçants, même s'ils n'ont pas été nommément cités. Si vous êtes de ceux là, et si vous le souhaitez, envoyez-moi vos cordonnées (nom, prénom, adresse et dates de résidence à Air-de-France, adresse actuelle, adresse e-mail), en cliquant ici, à mon adresse e-mail, en précisant si vous donnez ou pas votre accord pour que ces informations soient consultables sur cette page. -----Si nous nous retrouvons assez nombreux, il sera alors peut-être intéressant de constituer une sorte d'amicale informelle des anciens d'Air-de-France (il faudra alors trouver quelques bonnes volontés pour l'animer). Hâtons-nous ! Nous sommes une espèce, non protégée, en voie de disparition !
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